Après une édition 2024 plus que chaotique, l'UER met en place des mesures censées assurer "le bien-être" des artistes.
Pour rappel, entre tensions entre les délégations et accusations ayant menées à la disqualification de Joost Klein (sans compter les autres "petites" polémiques), l'édition 2024 de l'Eurovision nous avait laissés plus que perplexes sur l'organisation du Concours.
Pour redorer son blason, l'UER a décidé de mesures exceptionnelles pour la prochaine édition.
- Un Code de Conduite à approuver pour les participants, obligeant le respect des lois locales, interdisant l'instrumentalisation du concours, rappelant les attentes en matière de comportement, de compétition et de communication.
- Un protocole de protection (un peu vague) sur la sécurité, le bien-être et le bon déroulement pour tous les artistes du Concours.
- Des zones interdites au caméra pour la tranquillité des artistes lors de leur préparation.
- Des répétitions à huis-clos supplémentaires pour la concentration des artistes.
- Des horaires optimisés de répétition pour favoriser les temps de repos et de visite de la ville.
- L'apparition d'un Chargé du Bien-être, qui vérifiera les relations entre les artistes, délégations et équipes pour assurer respect, sécurité et bienveillance.
On ne peut qu'en rire. L'UER tente de se protéger avant tout, en évitant les polémiques de l'année passée. Le pompon, c'est ce Chargé du Bien-être... On se croirait dans une startup parisienne. On met un babyfoot pour oublier que tout le monde se bat ou pas ?
- Ces mesures auront-elles un impact réel ou sont-elles juste là pour améliorer l'image de l'UER ?
- Pourquoi a-t-il fallu attendre 2025 pour reconnaître que les artistes ne sont pas des machines ?